Fonctionnement COB

Article d’information à la population du fonctionnement de la Communauté de brigades de gendarmerie de MONESTIER DE CLERMONT :

La Communauté de brigades(COB) de MONESTIER DE CLERMONT, commandée par le Major BERGER est composée de 3 brigades de proximité : la brigade de MONESTIER DE CLERMONT, désignée brigade CHEF LIEU, commandée par l’Adjudant/Chef JURINE. les brigades de CLELLES et MENS, désignées brigades NON CHEF LIEU (NCL), commandées par l’Adjudant/Chef BLERIOT et l’Adjudant BERTIN.

A MONESTIER DE CLERMONT un militaire assure la mission d’accueil du public quotidiennement de 08 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 18 h 00 la semaine, puis de 09 h 00 à 12 h 00 et de 15 h 00 à 18 h 00 les dimanches et jours fériés. Néanmoins, les gendarmes de la COB assurent une permanence 24h/24. Chaque jour, plusieurs militaires de la COB assurent une astreinte sur l’ensemble du Trièves et sont amenés à intervenir sur les trois cantons.

Un accueil est mis en place dans les brigades NCL (BP) deux demi-journées par semaine :

La BP CLELLES est ouverte au public le lundi de 08 h 00 à 12 h 00 et le vendredi de 14 h 00 à 18 h 00.
La BP MENS est ouverte au public le mardi de 14 h 00 à 18 h 00 et le samedi de 08 h 00 à 12 h 00.

Mentionnons que cet accueil peut néanmoins être annulé pour impératif de service. Dans ce cas là et en dehors des horaires d’ouverture des brigades NCL, l’accueil du public est assuré à la brigade de MONESTIER DE CLERMONT.

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Permanences sociales

Télécharger les inscriptions cantines et périscolaires pour Mens pour la rentrée 2016/2017 : infoinscriptioncantineetperi-permanencesaffiche

Télécharger les permanences au Granjou :

Permanences JANVIER 2018 : permanence-janvier-2018

Vous pouvez également rencontrer

l’avocat conseil au pôle de Mens

Permanences gratuites, uniquement sur rendez-vous. 04 76 34 67 66

Le centre de planification d’éducation familiale assure une permanence au Granjou à Monestier de Clermont deux fois par mois.

Ses interventions sont multiples, auprès des jeunes autour de la sexualité, la contraception, les tests de dépistage… , auprès des adultes autour des relations amoureuses, la vie conjugale, la parentalité…

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Nouvelles brochures tourisme

Deux nouveaux documents sont à votre disposition : un guide pour toute notre offre d’hébergements et un guide pour toutes les activités à pratiquer été comme hiver.

Vous pouvez les télécharger en suivant en cliquant ici clic-ici

ou vous les procurer dans les différents offices de tourisme au Col de l’Arzelier, à Gresse-en-Vercors et à Mens.

N’hésitez pas à vous les procurer pour toutes vos idées de séjour dans le Trièves.

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Le maquis de Tréminis

L’histoire des maquis de Tréminis et son tragique démantèlement le 19 octobre 1943
Un « Camp protestant », un mini camp, était installé au dessus de la Sagne de Château Bas, en août 43 dans une baraque de bûcherons, presque sans armes, en attendant mieux ! Le camp du « Pied de la Vallée » dont la finalité aurait été, selon certaines sources, de former des cadres du maquis, s’était créé à partir du mois de juin.
Les baraques étaient construites plus haut, à 1350 m d’altitude au lieu-dit « Le Nid ».
L’effectif du camp s’établissait entre trente et quarante hommes dont la majeure partie étaient très jeunes, entre 17 et 25 ans et venaient d’horizons très divers. Mal armés, ils disposaient toutefois d’une certaine autonomie financière. A la ferme de Sauvanière, madame Bard mettait son pétrin et son four à disposition pour la fabrication du pain. Quant au ravitaillement, il semble ne jamais avoir posé de problème, et le maquis n’a jamais vécu en « parasite » au détriment du village.
Le 19 octobre 1943, c’est une trahison qui a mené les maquis de Tréminis à leur perte. Guidées par Meusard, les colonnes allemandes attaquent à l’aube. Pour encercler le camp du « Pied de la vallée », elles arrivent à la fois par cette route et de l’autre côté, par Lus le Croix Haute et La Jarjatte. Au petit matin, le bruit des camions réveille les habitants du village. Le garde forestier, Jean Marie Tref est arrêté et sommé de conduire l’assaillant au camp. En bon connaisseur de la forêt, il prendra de multiples détours. Les maquisards sont surpris et tout s’effondre en quelques minutes. La première victime, Jean Amigoni, blessé, se traîne sur un chemin, non loin d’ici. Il sera rattrapé et achevé d’une balle dans la tête. René Pinguet, Jacques Casanova, André Coutelier, Pisolino et René Perrochon sont arrêtés. Parmi les habitants : Mme Bard dans sa ferme de Sauvanière, Robert et René Barthalais, André Girard et Jean Giraud sont aussi arrêtés. Daniel Girard essuie des coups de feu mais parvient à s’échapper. Le camp protestant s’effondre à son tour. Sont faits prisonniers, René Lescoute, Joseph Laroche, George Siguier et Yves Fabre. Pierre Lortic et Bertrand Deluze étaient absents ce jour-là. A Grenoble, seront arrêtés Francis Lagardère et André Girard-Clot. Le bilan est lourd : un mort et seize arrestations. Les autres maquisards réussissent à s’enfuir guidés par Jean Robin qui connaît bien la montagne. Certains d’entre eux poursuivront le combat à Malleval en janvier 44 ou en Savoie ou dans le Vercors en juillet 44….
Les camps se sont établis et ont vécu une existence éphémère en grande partie grâce à l’appui actif ou, au moins à leur acceptation de la part de la population locale. Les risques étaient énormes, ils ont été assumés.
Aujourd’hui, 70 ans après, nous devons rendre hommage à ceux qui, au plus profond de la nuit, se sont levés pour dire non, il est de notre devoir de redire sans cesse que la liberté nécessite un combat permanent et que ce qui s’est passé il y a 70 ans peut parfaitement se reproduire aujourd’hui, là bas ou ici et l’actualité récente ne fait que le confirmer. Ne lâchons pas la garde, que chacun à sa façon, à son niveau transmette et passe le témoin aux générations suivantes.

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La seigneurerie

La seigneurie est la propriété de la famille de Bérenger. Elle est située à l’écart de deux axes de communication de Corps et du col de Lus. Par conséquent, on n’y trouve peu de commerçants traditionnellement attachés aux axes routiers . Elle confie la fonction judiciaire de capitaine-châtelain à la famille Jouguet issue de la paroisse, depuis la fin du XVIe siècle. Cette famille tisse des liens avec la petite noblesse d’Eschaffin, de Cornu et les notables (Mousnier, Achard) du Trièves et du Vercors. Peu avant la Révolution, elle finit par posséder un fief. Elle va ensuite s’établir dans la haute bourgeoisie de Grenoble.

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Précisions présentation générale

Cliquer sur les mots en bleu

Situation

Située au pied du Grand Ferrand, Tréminis est une commune de 180 habitants, les Tréminisous, entourée par les montagnes (Grand Ferrand, Ménil, Aup). Dans le bassin supérieur de l’Ebron, au pied des escarpements du Grand Ferrand (2759 m), Tréminis disperse ses quatre hameaux

Château-Bas, Château-Méa, l’Eglise et le Serre – entre 850 et 1000 mètres d’altitude au coeur d’un massif forestier de 3500 hectares ce qui l’a fait surnommer : la perle du Trièves dans son écrin de verdure. Telle une forteresse, son accès se fait par la route de Lalley, en contournant le Ménil à l’est, ou par le nord en passant par le col de Mens, route très sinueuse qui est une étape systématique du Rallye du Trièves. C’est la commune la plus au sud du département de l’Isère.

Activités

La commune a de tout temps orienté principalement son activité vers l’agriculture (élevage) et la forêt (exploitation, sciage). Très boisée, rurale, isolée et peu peuplée, Tréminis a pourtant la chance de bénéficier de tout le « confort moderne ». La commune dispose en effet d’une école, d’une agence postale, d’une épicerie, de gîtes d’étapes, chambres et tables d’hôtes, d’un foyer de ski de fond, de trois parcours de randonnée insolites — sur le thème de la Résistance, du croquis et de la lutte contre l’érosion — et d’un alpage communal. Des exploitations agricoles, une scierie importante, la scierie Barthalay et quelques artisans complètent le tableau. L’équipe municipale mise sur le développement économique pour maintenir un niveau de population suffisant. Une designer Elena Almaric et un artisan glacier Sylvain Truffet ont été ainsi accueillis dans un bâtiment communal mis à disposition,. La mairie a financé la rénovation d’un four à pain, avec l’aide du Conseil général, pour installer une boulangerie (Guillaume Chabot et Lionel Alborghetti). Cela dynamise l’économie locale et fait vivre plusieurs familles d’actifs. Seule ombre au tableau, les rudes mois d’hiver où les 2/3 des maisons du village sont fermées. La population s’est stabilisée. Le prochain défi, serait de transformer certaines résidences secondaires en résidences principales et de faire venir des familles avec de jeunes enfants pour maintenir l’école.

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Le sentier de la résistance

Partez sur les traces des maquisards. Accessible à tout bon marcheur et aux familles. 5 heures de randonnée.

Une exposition est en place au départ du sentier, à la cabane de pique-nique du Grand Ferrand.

Un livret sur ce sentier est en vente à 3 € dans les Offices de tourisme de Clelles et Mens et également à la mairie de Tréminis.

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Le Sentier de la Résistance vous emmène sur les traces des maquisards de Tréminis et vous présente leur histoire à travers le récit de la journée du 19 octobre 1943, lorsque, trahis par l’un des leurs, ils furent attaqués par les troupes nazies…

Le livret vous invite à vous plonger dans les événements de la Résistance en Isère…

Départ du sentier : Tréminis, à la Cabane de Pique-Nique du Grand Ferrand. Ce sentier est long de 7,750 km et cumule 580 mètres de dénivelé, pour environ 5 heures de randonnée : il est accessible à tout bon marcheur mais aussi aux famille, enfants à partir de 8/10 ans.

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Le rando-croquis

Le sentier Randocroquis

Pour rejoindre le départ, suivez la direction « L’Église » et garez-vous sur le parking de la mairie.

Partez en direction de l’église, prenez à gauche puis immédiatement à droite un sentier qui grimpe en quelques lacets et traverse le cimetière (station 1).

Sortez par le portail et continuez tout droit dans le village puis à travers champs

A l’orée du bois (station 2), traversez le champ et rejoignez en face un sentier à flanc de colline (station 3, 4 et 5) qui redescend vers un chemin plus large (station 6).

Retournez sur vos pas par ce chemin et prenez à gauche en direction du village le Serre.

A hauteur de la chapelle, prenez à droite, traversez le pont (station 7 à gauche).

Continuez tout droit jusqu’au hameau la Chenal et empruntez le sentier qui grimpe doucement sur la colline.

Suivez ce chemin (station 8 et 9) jusqu’au hameau Château Méa. Tournez à droite et rejoignez le départ par la route.

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Salles des fêtes : réservation

Pour réserver la salle des fêtes, contacter le secrétariat. Il vous sera demandé une attestation d’assurance pour la location. Une convention entre la mairie et vous-même sera signée.

 

Cliquer sur : [calendrier des réservations de la salle des fêtes->https://calendar.google.com/calendar/embed?src=4kqpqrrhhh636loj3u62n03v2o%40group.calendar.google.com&ctz=Europe/Paris] Vous pourrez voir les disponibilités de la salle des fêtes

Histoire de l’ancienne poste

C’est au début du 20 ème siècle (1903/1904) que le bâtiment destiné à recevoir l’école et le bureau des PTT fut construit à Tréminis.

ancienne-poste

A ce moment là, La Poste nommait un « Receveur Distributeur » c’est-à-dire que, le matin, après avoir reçu le courrier destiné aux habitants du village, il partait le distribuer dans les maisons et la plupart du temps son épouse le remplaçait pour recevoir les clients au bureau. On l’appelait « le Facteur » C’était l’occasion de rencontres avec les villageois et le Postier était un personnage important au même titre que l’instituteur ou le Curé. Différentes personnes ont tenu cet emploi jusqu’en 1990 et l’un d’eux a même décidé de construire sa maison chez nous. Mais cette année là, La poste a décidé de transférer cette charge aux petites communes qui n’avaient pas un flux de travail suffisamment important. C’est alors que Tréminis, souhaitant conserver ce service primordial pour le village, a pris la décision de nommer un agent pour perpétuer le service que rendait La Poste dans nos petites contrées. Depuis cette année là, trois personnes on tenu ce poste : Mme Poucet d’abord jusqu’en 1997, puis Cathy Blanc jusqu’à la fin de ce mois de Mai 2015 et la relève a été assurée par Alexandra Galeazzi. La Poste a décidé, pour les 25 ans de notre Agence Postale, de fêter notre bureau. Et c’est par un samedi ensoleillé que nous avons eu droit ce dernier 20 juin à une petite cérémonie et un apéritif servi devant notre nouvelle Agence postale, implantée en centre bourg, venant compléter l’activité existante (épicerie,…).

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La poste participe financièrement au maintien de l’agence, et cette participation est fonction du chiffre rapporté par notre agence. Actuellement le bureau fonctionne bien et ce que nous reverse La Poste couvre les frais engagés par la Mairie pour payer l’agent communal. Souhaitons que chacun continue à utiliser sans compter, ce service, afin que les choses restent au moins comme aujourd’hui.

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